Bruno Vigneron Photographer

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Fleur de Ghetto 𝛂 35 images Created 17 Jan 2019

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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_009 Var3.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_002.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_003.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
    FdG_Raph_003 Var1.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
    FdG_Raph_006.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
    FdG_Raph_009.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
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  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
    FdG_Raph_012.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
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Fleur du Ghetto est née.<br />
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Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
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Sophie-Caroline
    FdG_Raph_013.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_014.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_015.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_016.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_017.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_003 Var2.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_001 Var1.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_001 Var2.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_001 Var3.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_009 Var1.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. <br />
C’est le mien.<br />
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.<br />
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.<br />
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.<br />
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.<br />
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? l’idée me trotte … et<br />
je continue à marcher.<br />
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.<br />
<br />
Fleur du Ghetto est née.<br />
<br />
Une pièce unique, une pièce rare.<br />
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.<br />
Et comme je rêve grand, je me suis dit :<br />
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »<br />
<br />
Sophie-Caroline
    FdG_Raph_009 Var2.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

    FdG_Raph_024.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

    FdG_Raph_025.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

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  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

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  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

    FdG_Raph_018.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

    FdG_Raph_019.jpg
  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

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  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

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  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

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  • Le rythme de l’homme est la marche. 
C’est le mien.
Lors de mes promenades quotidiennes j’ai constaté la place du déchet dans nos vies et son impact sur la nature.
Peu à peu a germé en moi l’idée de sensibiliser les plus jeunes à l’écologie par un acte citoyen simple, positif, bienfaisant.
Je suis ce qu’on appelle aujourd’hui une adulte, mais pour dire, écrire la vérité, en réalité, je suis une enfant qui parle aux objets et s’émeut de la solitude d’une chaise abandonnée, jeter au coin d’une rue, après avoir accueilli généreusement, des années durant, nos augustes postérieures.
Curiosité, ma meilleure amie, m’a poussée à discuter avec les héros de l’ombre qui recueillent tant qu’ils peuvent, tout nos rebus, ainsi j’ai rencontré les acteurs invisibles de notre société, les indiens des déchetteries. Eux mieux que personne nous connaissent, nous observent, ceux sont des ethnologues qui s’ignorent.
Et je me suis dit « et si nous leur rendions hommage », car nos maires (prononcer mère), nos régions, ont bien mis en place des lieux et des moyens de collectes, alors pourquoi tant d’abandons, de négligence de notre part à nous ? <br />
L’idée me trotte… et je continue à marcher.
Puis je rencontre une chaise dans un parking, dans une banlieue parisienne, et je l’ai soignée.

Fleur du Ghetto est née.

Une pièce unique, une pièce rare.
Je l’ai confiée aux mains expertes de la vannerie de Villaines (Entreprise du Patrimoine Vivant, label E.P.V), et nous lui avons donné une nouvelle vie, dessiné un nouvel avenir.
Et comme je rêve grand, je me suis dit :
« Et si nous le faisions tous ensemble ! »â€¨â€¨Sophie-Caroline

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