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LEKKAROD est une course longue distance par étapes dont les objectifs correspondent à une véritable philosophie pour le Sport de traîneau à chiens. 
Elle a démarré cette année le 11 mars 2017, avec un départ à Bonneval sur Arc et Bessans, puis sur le domaine de Bramans, Valloire, Saint François Longchamp et pour finir le 19 mars sur le domaine des Saisies.

LEKKA veut dire « chien » en vieux patois savoyard bessannais. Un hommage à la station village de Bessans, située en Haute Maurienne, et qui fut dés l’émergence de ce sport en France (et est toujours) un haut lieu du traîneau à chiens
ROD pour rendre également hommage, mais cette fois la mythique course de chiens de traîneau qui demeure la plus difficile au monde : l’IDITAROD, en Alaska.

Une cinquantaine d‘attelages ont pris le départ de l’edition 2017, soit près de 500 chiens qui sont engagés dans la course.
Les participants viennent d’Allemagne, d’Autriche, de Belgique, Croatie, France mais aussi Portugal, Suisse ou Tchéquie, dont une bonne dizaine de femmes.
Sur le parcours, j’ai fréquemment entendu dire, lors des passages difficiles: ça va bien aller, le musher est une femme.




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Lekkarod 2017
LEKKAROD est une course longue distance par étapes dont les objectifs correspondent à une véritable philosophie pour le Sport de traîneau à chiens. 
Elle a démarré cette année le 11 mars 2017, avec un départ à Bonneval sur Arc et Bessans, puis sur le domaine de Bramans, Valloire, Saint François Longchamp et pour finir le 19 mars sur le domaine des Saisies. <br /> <br /> LEKKA veut dire « chien » en vieux patois savoyard bessannais. Un hommage à la station village de Bessans, située en Haute Maurienne, et qui fut dés l’émergence de ce sport en France (et est toujours) un haut lieu du traîneau à chiens
ROD pour rendre également hommage, mais cette fois la mythique course de chiens de traîneau qui demeure la plus difficile au monde : l’IDITAROD, en Alaska.

Une cinquantaine d‘attelages ont pris le départ de l’edition 2017, soit près de 500 chiens qui sont engagés dans la course.<br /> Les participants viennent d’Allemagne, d’Autriche, de Belgique, Croatie, France mais aussi Portugal, Suisse ou Tchéquie, dont une bonne dizaine de femmes.
Sur le parcours, j’ai fréquemment entendu dire, lors des passages difficiles: ça va bien aller, le musher est une femme.
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