Bruno Vigneron Photographer

  • Galleries
    • All Galleries
    • Search
    • Cart
    • Lightbox
    • Client Area
  • Home
  • Blog
  • Port-Folio
  • Contact
  • Instagram
  • About
  • Prints
  • Facebook
  • Twitter
x

Search Results

Refine Search
Match all words
Match any word
Prints
Personal Use
Royalty-Free
Rights-Managed
(leave unchecked to
search all images)
82 images found
twitterlinkedinfacebook

Loading ()...

  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_063.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_036.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_008.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_005.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_056.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_052.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_038.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_032.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_018.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_013.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_043.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_040.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_035.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_028.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_026.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_017.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_014.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_007.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_054.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_051.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_049.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_048.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_047.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_042.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_039.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_030.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_029.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_027.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_024.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_021.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_020.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_012.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_006.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_062.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_060.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_059.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_057.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_055.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_053.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_044.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_034.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_033.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_022.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_010.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_058.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_023.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_015.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_011.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_003.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_002.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_061.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_050.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_046.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_041.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_037.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_031.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_025.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_019.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_016.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_009.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_004.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_001.jpg
  • New Scale, qui devait augurer l’Espace Verney-Carron une forme de simplicité et de mobilité, se transmue il est vrai en exercice de relativité. L’Espace, qui a hérité de la vision de Georges Verney-Carron en faveur d’une esthétique et d’une éthique urbaine, constate à travers l’œuvre de Mengzhi Zheng combien ses engagements sont d’actualité et doivent se porter plus avant, à tous les niveaux — sociaux, politiques, économiques, culturels et environnementaux — de la chose publique.
    GVC_MZhen_045.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-19.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-14.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-9.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-4.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-3.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-2.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-1.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-18.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-16.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-11.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-6.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-17.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-15.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-13.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-12.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-10.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-8.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-7.jpg
  • The Day Nina Simone Stopped Singing<br />
Raised on Baudelaire, A Clockwork Orange, and fine Bordeaux in 1970s Lebanon, Darina Al-Joundi was encouraged by her unconventional father to defy all taboos. As the bombs fell, she lived an adolescence of excess and transgression, defying death in nightclubs. The more oppressive the country became, the more drugs and anonymous sex she had, fueling the resentment by day of the same men who would spend the night with her. As the war dies down, she begins to incur the consequences of her lifestyle. On his deathbed, her father's last wish is for his favorite song, "Sinnerman," by Nina Simone, to be played at his funeral instead of the traditional suras of the Koran. When she does just that, the results are catastrophic.<br />
<br />
In this dramatic true story, Darina Al-Joundi is defiantly passionate about living her life as a liberated woman, even if it means leaving everyone and everything behind.<br />
<br />
Le Jour ou? Nina Simone<br />
a cesse? de chanter.<br />
Le soir des fune?railles de son pe?re, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette ce?re?monie. L'acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun de?cide de s'enfermer a? double tour avec son pe?re pour lui dire ce qu'elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les lec?ons de liberte?s qu'il lui a donne?. Noun est libre face a? la mort, mais une simple porte la se?pare d'un monde hostile.<br />
Au fil des e?vocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses re?voltes pour se confronter a? la fin a? un monde, a? une socie?te? qui interdit a? la femme l'exercice de la parole, du re?ve et de la re?volte.
    Darina-5.jpg