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  • LYON, FRANCE - FEBRUARY 11: R&B French singer Matt Pokora attends public showcase organized by Radio Scoop at Part-Dieu shopping center on February 11, 2015 in Lyon, France. <br />
 during the show case, fans already wearing the tees from his new wear collection (with golden bands) (Photo by Bruno Vigneron/Getty Images)
    Mpok_046.jpg
  • Les oeuvres metalliques de Christophe Champin. Paimboeuf.
Metalo-decheticien a Paimboeuf, Christian Champin expose depuis mi-avril, et jusqu’en octobre 2017, une partie de sa collection, ses plus grosses pieces, a l‘entree de la ville de Paimboeuf.
    0817-Paimb_003.jpg
  • Les oeuvres metalliques de Christophe Champin. Paimboeuf.
Metalo-decheticien a Paimboeuf, Christian Champin expose depuis mi-avril, et jusqu’en octobre 2017, une partie de sa collection, ses plus grosses pieces, a l‘entree de la ville de Paimboeuf.
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  • LYON, FRANCE - FEBRUARY 11: R&B French singer Matt Pokora attends public showcase organized by Radio Scoop at Part-Dieu shopping center on February 11, 2015 in Lyon, France. <br />
 during the show case, fans already wearing the tees from his new wear collection (with golden bands) (Photo by Bruno Vigneron/Getty Images)
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  • LYON, FRANCE - FEBRUARY 11: R&B French singer Matt Pokora attends public showcase organized by Radio Scoop at Part-Dieu shopping center on February 11, 2015 in Lyon, France. <br />
 during the show case, fans already wearing the tees from his new wear collection (with golden bands) (Photo by Bruno Vigneron/Getty Images)
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  • LYON, FRANCE - FEBRUARY 11: R&B French singer Matt Pokora attends public showcase organized by Radio Scoop at Part-Dieu shopping center on February 11, 2015 in Lyon, France. <br />
 during the show case, fans already wearing the tees from his new wear collection (with golden bands) (Photo by Bruno Vigneron/Getty Images)
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vetu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vetu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance. <br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.e. <br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
    HL_031.jpg
  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
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Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
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Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
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"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
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Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
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Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
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Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
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Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vetu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance. <br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
    HL_035.jpg
  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • The George Gustav Heye Center is a branch of the National Museum of the American Indian in New York City, USA.<br />
The museum is part of the Smithsonian Institution. The center features contemporary and historical exhibits of art and artifacts by and about Native Americans.<br />
The center is named for George Gustav Heye, who began collecting Native American artifacts in 1903 and opened the Museum of the American Indian on Audubon Terrace in upper Manhattan in 1922. That museum closed in 1994 and part of the collection is now housed at the Alexander Hamilton U.S. Custom House on Bowling Green in lower Manhattan. The Beaux Arts-style building, designed by architect Cass Gilbert, was completed in 1907. It is a designated National Historic Landmark and a New York City landmark. The center's exhibition and public access areas total about 20,000 square feet (2,000 m²). The Heye Center offers a range of exhibitions, film and video screenings, school group programs and living culture presentations throughout the year.
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  • Les oeuvres metalliques de Christophe Champin. Paimboeuf.<br />
Metalo-decheticien a Paimboeuf, Christian Champin expose depuis mi-avril, et jusqu’en octobre 2017, une partie de sa collection, ses plus grosses pieces, a l‘entree de la ville de Paimboeuf.
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  • ROME, ITALY - JUNE 03: Illustration of Rome; Italy on June 03, 2012..The Doria Pamphilj Gallery is a large art collection housed in the Palazzo Doria Pamphilj. It is situated between the Via del Corso and Via della Gatta. The principal entrance is on the Via del Corso. Like the palace, it is still privately owned by the princely Roman family Doria Pamphilj..In 1291 two Doria brothers bought the lordship of Oneglia, which was co-owned by their descendants until the late 15th century. Admiral Andrea Doria fought for the French at the battle of Crécy.
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  • ROME, ITALY - JUNE 03: Illustration of Rome; Italy on June 03, 2012..The Doria Pamphilj Gallery is a large art collection housed in the Palazzo Doria Pamphilj. It is situated between the Via del Corso and Via della Gatta. The principal entrance is on the Via del Corso. Like the palace, it is still privately owned by the princely Roman family Doria Pamphilj..In 1291 two Doria brothers bought the lordship of Oneglia, which was co-owned by their descendants until the late 15th century. Admiral Andrea Doria fought for the French at the battle of Crécy.
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  • This museum is named after Pope Pius VII (whose last name was Chiaramonti before his election as pope), who founded it in the early 19th century. The museum consists of a large arched gallery in which sides are exhibited several statues, sarcophaguses and friezes. The New Wing, Braccio Nuovo built by Raphael Stern, houses important statues like The Prima Porta Augustus, Doryphorus, and The River Nile. Galeria Lapidaria is another part of Chiaramonti museum, with more than 3,000 stone tablets and inscriptions, which is the world's greatest collection of its kind.
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  • ROME, ITALY - JUNE 03: Illustration of Rome; Italy on June 03, 2012..The treasures of the Vatican. Museo Chiaramonti..This museum is named after Pope Pius VII (whose last name was Chiaramonti before his election as pope), who founded it in the early 19th century. The museum consists of a large arched gallery in which sides are exhibited several statues, sarcophaguses and friezes. The New Wing, Braccio Nuovo built by Raphael Stern, houses important statues like The Prima Porta Augustus, Doryphorus, and The River Nile. Galeria Lapidaria is another part of Chiaramonti museum, with more than 3,000 stone tablets and inscriptions, which is the world's greatest collection of its kind.
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
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Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
<br />
Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
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Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
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The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
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Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
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Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
Le repas est a prix libre <br />
Chacun donne ce qu'il veut, et ce qu'il peut.<br />
Chacun participe a hauteur de ses moyens, cela permet de couvrir les charges de la cantine. Certains donnent plus, cela permet d accueillir des gens qui donnent moins.
Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
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Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
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Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
Everyone gives what he wants, what he can.<br />
Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
Chaque convive est invite à adherer a l association, a prix libre, afin que celle-ci puisse lui proposer un repas.<br />
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Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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  • Solidarity restaurants to alleviate loneliness and isolation<br />
Created 5 years ago in Lyon , “Les Petites Cantines” is a non-profit network of neighborhood canteens, where guests welcome and meet through sustainable, participatory meals at free prices.<br />
The "Petites Cantines" rely on mutual aid and collective intelligence to help build a society based on trust.<br />
Each guest is invited to join the association, at free price, so that it can offer him a meal, the price of which is also free.<br />
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Guests participate according to their means, which makes it possible to cover the costs of the canteen. Some give more, it makes it possible to welcome people who give less.<br />
For the moment installed in Annecy, Lille, Lyon, Strasbourg and Grenoble, many others are planned in Brussels, Metz, Macon, Bruz, Sartrouville, les Lilas, Oullins and 2 new ones in Lyon<br />
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Restaurants solidaires pour pallier la solitude et l isolement. <br />
Crees a Lyon il y a 5 ans « Les Petites Cantines » sont un reseau non lucratif de cantines de quartier, ou les convives s accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et a prix libre. <br />
Les Petites Cantines s appuient sur l entraide et l intelligence collective pour contribuer a la construction d'une societe fondee sur la confiance.<br />
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Aujourd hui six de ces restaurants sont ouverts en France, dont 3 a Lyon, puis Lille, Strasbourg et Annecy et trois autres sont en projet, Oullins, Metz, Macon et Paris, prevu en novembre
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