Bruno Vigneron Photographer

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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Fabien Marsaud aka Grand Corps Malade
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker, Passy and Fabien Marsaud (Grand Corp Malade)
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker, Passi and Fabien Marsaud aka Grand Corps Malade
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker, Passy and Fabien Marsaud (Grand Corp Malade)
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Fabien Marsaud aka Grand Corps Malade
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Fabien Marsaud aka Grand Corps Malade
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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Axelle Francine
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Jose Garcia and Tony Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Issa Doumbia, Pauline Chappey and Jean-Baptiste Shelmerdine,
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker Sr, Pamela Parker, Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker Sr, Pamela Parker, Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker an Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
José Garcia and Tony Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
José Garcia, Jean-Yves Glemee and Tony Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
José Garcia, Jean-Yves Glemee and Tony Parker
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Tony Parker and José Garcia
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Jose Garcia
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Marine Lorphelin, miss France 2013, Tony Parker and Sylvie Tellier, miss France 2002
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Mathieu Bastareaud
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Mme Anderson, Tony Parker and Sonny Anderson
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Axelle Francine
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker Sr, Pamela Parker, Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker Sr, Pamela Parker, Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • France claims to be the best country for the medical ..Maybe..So, but why all these people in the hallways?
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
José Garcia, Jean-Yves Glemee and Tony Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
José Garcia
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Marine Lorphelin, miss France 2013, Tony Parker and Sylvie Tellier, miss France 2002
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and his brother Pierre Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
 Tony Parker and his brother Pierre Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Mathieu Bastareaud,
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Mme Anderson, Tony Parker and Sonny Anderson
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Tony Parker and his brother Pierre Parker
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Issa Doumbia, Pauline Chappey and Jean-Baptiste Shelmerdine.
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker Sr, Pamela Parker, Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker Sr, Pamela Parker, Tony Parker.
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Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Marine Lorphelin, miss France 2013, Tony Parker and Sylvie Tellier, miss France 2002
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Axelle
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  • Tony Parker's Charity gala at "Abbaye de Colonges"<br />
Tony Parker and Axelle
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vetu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance. <br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vetu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance. <br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.e. <br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
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Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
    HL_007.jpg
  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vetu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
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Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
    HL_041.jpg
  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • La salle d'attente...<br />
Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
<br />
"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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  • Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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Henri Launay est installé depuis 1964 dans le dernier sanctuaire de poupées de collections, dans le Xième arrondissement de Paris.<br />
Ce “médecin des poupées”, chirurgien autodidacte des poupées de porcelaine françaises, toujours vétu de sa blouse blanche, redonne une seconde vie aux souvenirs d’enfance.<br />
Et ses 90 ans ne l’empêchent pas d’avoir une très bonne vue.<br />
Avant l’époque du jetable existait le temps du réparable : on conservait les objets et donc on les réparait”<br />
À l’origine diplômé en électricité, Henri répare ensuite de la maroquinerie et des parapluies. C’est à la demande de ses clients qu’il s’est intéressé aux jouets. <br />
"Je ne connaissais pas les poupées. À la maison on est quatre garçons. On n’a jamais eu de poupée"<br />
Il répare les poupées de collections, mais aussi les peluches. <br />
Celles-ci lui sont souvent confiées par "des messieurs de 50, 60 ans, qui ont fait leur service militaire et ont emporté partout leur peluche". Alors, elles sont toutes usées, râpées. <br />
Des clients viennent lui raconter des souvenirs, qu’il consigne pour les raconter à son tour. <br />
Comme celle de cette petite fille, jetée avec sa mère et son petit frère sur les routes de l'exode. Arrive un char allemand et dans la panique, l’enfant lâche sa poupée. Un soldat descend alors du char, ramasse la poupée et la tend à l’enfant, qui plus de 70 ans plus tard n’a rien oublié. <br />
Ou encore celle de cette fillette tombée malade parce que sa poupée était cassée, et qui retrouve sa gaieté quand “monsieur Henri” répare le jouet.<br />
Des magazines comme l’International Herald Tribune, New York Times parle de ce docteur des poupées, mais également des magazines italiens, chinois coréen ou japonais.<br />
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"Je ne suis pas le seul, mais je suis exclusif. Des gens qui font des réparations il en existe, mais des réparations comme je les fais… je suis imbattable, en toute modestie !"
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