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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Depuis 10 ans environ les femmes sont tolérées dans ce sport jusqu'alors seulement réservé aux "demi dieux"..La raison n est simple: la fédération souhaiterait voir entrer le Sumo dans les sports olympiques..Et l'une des conditions est la participation féminine.<br />
Ce sport est bien plus développé dans les pays de l'Est que partout ailleurs.<br />
L'équipe suisse ne compte que 3 femmes, la France aucune tout comme l'Espagne ou la Belgique.n La catégorie des poids est un vrai problème pour les lutteuses poids lourds. Une femme de 80kg peut très bien se retrouver confrontée a une autre lutteuse de plus de 130 kg.<br />
Quand elles arrivent sur le dohio, elles se jaugent, tentent de s'intimider. Elles doivent poser leurs poings au sol l'une après l'autre en alternance. Lorsque le dernier poing de la seconde femme touche le sol, le combat commence. Les assauts sont d'une rapidité consternante: entre 10 et 30 secondes pour la plupart, 3 minutes au maximum. Les baffes, se tirer les cheveux, se pousser, tout est bon pour faire sortir l'adversaire du cercle ou lui faire poser une partie du corps a l'intérieur. Les femmes ne peuvent néanmoins concourir qu'a un niveau amateur.
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  • Training. Giuletta and Marc, president of the Swiss sumo federation
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  • Training. Giuletta and Marc, president of the Swiss sumo federation
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  • Training. Giuletta and his boy-friend, Daniel. Geneva, Switzerland.
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  • Training. Giuletta and his boy-friend, Daniel. Geneva, Switzerland.
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  • Shin Sumo. Giuletta is a young female sumotori.
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  • Training. Giuletta and his boy-friend, Daniel. Geneva, Switzerland.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Christian Delpieu (Behind), Jean François Vinot (Down) et Pierre Colombet (r)<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
<br />
Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • Jean François Vinot (L) Pierre Colombet (R)<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
<br />
Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • Jean François Vinot (L) Pierre Colombet (r)<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
<br />
Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner. Photo: Dan Benedito.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Case vs Chalons. Case winner.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Rugby. <br />
CASE (St Etienne) VS Rc MAssy Essonne.<br />
Rcme winner.<br />
Le CASE de St Etienne rencontre le rc massy essonne à domicile.
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  • Jean François Vinot (R) secures Pierre Colombet<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
<br />
Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • Pierre Colombet.<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
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Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • Pierre Colombet<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
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Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • Pierre Colombet<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
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Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • Pierre Colombet.<br />
Dans un petit club de force athletique de La Ricamarie, pres de St Etienne, les papys forcent le respect.<br />
Pierre Colombet, 70 ans et ancien lignard de Orange. Il vient de remporter le titre de  Champion de France lors de sa premiere participation a ce genre de concours<br />
Jean François Vinot, 70 ans, quant a lui, vient de remporter le titre de Champion d’Europe. Il etait deja plusieurs fois champion de France <br />
Christian Delpieu, 70 ans. Cet ancien champion du monde de force athletique leur sert de coach.<br />
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Strongs grandpas <br />
In a modest and little-know athletic strength club near St Etienne, the grandpas command respect.<br />
Pierre Colombet, 70 years old and former agent of Orange Telecom. He has just won the title of Champion of France during his first participation in this kind of competition.<br />
Jean François Vinot, 70, has just won the title of European Champion. He was already several times champion of France<br />
Christian Delpieu, 70 years old. This former world champion in athletic strength serves as their coach.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner. Photo: Dan Benedito.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner. Photo: Dan Benedito.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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  • CASE vs Bourg en Bresse. CASE Winner.
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