Bruno Vigneron Photographer

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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.<br />
Where is... ? <br />
By this way...
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  • Ruins of Pompei.
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Prayer, Gesù Nuovo's church, Naples, Italy.
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  • Church and pilgrin, Gesù Nuovo's church, Naples, Italy.
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  • Ex Voto Gallery, Gesù Nuovo's church, Naples, Italy<br />
It is certainly the most important church built by Jesuits in Naples<br />
<br />
La galerie des Ex-Voto de l'eglise Gesù Nuovo à Naple.<br />
Il s'agit certainement de l'église la plus importante construite par les jésuites à Naples
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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy.<br />
Positano's Bay
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.
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  • Naples.jpg
  • Gesù Nuovo's church, Naples, Italy<br />
It is certainly the most important church built by Jesuits in Naples<br />
<br />
Eglise Gesù Nuovo à Naple.<br />
Il s'agit certainement de l'église la plus importante construite par les jésuites à Naples
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  • Ruins of Pompei.
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy.<br />
The beach of Positano.
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Naples-7.jpg
  • Gesù Nuovo's church, Naples, Italy.
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  • Ex Voto Gallery, Gesù Nuovo's church, Naples, Italy<br />
It is certainly the most important church built by Jesuits in Naples<br />
<br />
La galerie des Ex-Voto de l'eglise Gesù Nuovo à Naple.<br />
Il s'agit certainement de l'église la plus importante construite par les jésuites à Naples
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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy
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  • Jesus on the wall
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  • Ruins of Pompei.
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  • Ruins of Pompei.
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  • Amalfitan Coast, Campania, Italy.<br />
Positano's Bay.
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  • Monk and his boss, Gesù Nuovo's church, Naples, Italy.
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  • Different generations of Neapolitans.<br />
Old Town, Naples. Italy
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  • Napolitan bakery, Old Town. Naples, Italy
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  • Naples, Italy. <br />
Old women by the windows
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  • Maria and the scooter. Old town, Naples, Italy.
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  • Old Town, Naples. Italy
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  • Boat in the beach, Positano. Italy.
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  • Nun on the Old Town. Naples, Italy.
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  • Old Town. Naples, Italy.
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  • Young neapolitans. Naples, Italy.
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  • Naples. Street in the old town.
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  • Subterranean old town. Naples, Italy
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  • Old Town, Naples. Italy
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  • Old Town, Naples. Italy
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  • Old Town, Naples. Italy
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  • Old man, Old town.<br />
Naples. Italy
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  • Old Town, Naples. Italy
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  • Skull. Old Town, Naples. Italy
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  • Naples. Old town
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  • Old Town. Naples, Italy.
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  • Near the Galleria Umberto I. Naples, Italy.
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  • Parthenope University of Naples.<br />
The Parthenope University of Naples (Italian: Università degli Studi di Napoli "Parthenope") is a university located in Naples, Italy. The "Parthenope" is now one of the fully accredited universities in Naples. It was founded in 1920 as the Regio Istituto Superiore Navale--the Royal Naval Technical Institute--and was further upgraded in the 1930s to the Istituto Universitario Navale.<br />
Naples, Italy.
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  • Old Town, Naples. Italy
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
<br />
Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
<br />
Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
<br />
Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
<br />
Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
<br />
Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
    TEC_Ina_030.jpg
  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
    TEC_Ina_011.jpg
  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
    TEC_Ina_035.jpg
  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
    TEC_Ina_033.jpg
  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
    TEC_Ina_023.jpg
  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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    TEC_Ina_044.jpg
  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
<br />
Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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  • À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.  Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.<br />
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Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère manipulatrice sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witikiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.<br />
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Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.<br />
(Texte site TEC)
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